sabato 31 marzo 2018

pour calmer ses nerfs...

pour calmer ses nerfs
en fuite de la guerre


là voilà
qu'elle remplit
un tas de feuilles
avec des 
lignes des signes
de tout genre
un certain air
d'esquisses?
mais non 
des gribouillis, quoi!
sans queue ni t^ete

aucune idée
m^eme pas 
d'imaginer
que sa main
l'ammènera
un jour
longtemps après
à faire beaucoup plus
que de simples gribouillis
rien à voir avec
ses nerfs d'antan 

de vraies lignes
et lignes et lignes
lignes eternelles...









venerdì 30 marzo 2018

sopravvisuti



sopravvisuti

siamo
tutti dei sopravvissuti
guerre
sentimenti
dolori
dramma
o felicità
vite troppo intense
o meno

tutti
sopravvissuti
senza saperlo
come siamo arrivati
fin qui
illesi
di un modo o altro

vite possibili
o impossibili
spalancate davanti a noi
non vissute
troppo vissute


in - coenrenza totale


giovedì 29 marzo 2018

lembrancas...

um garoto de uns seis anos, meu neto Marco
 sua inata solidariedade -




 agora conto: fui a Roma visitar minha familia, passado umas semanas me deu uma dor mto forte.Medicos.Raios X. Pedra nos rins. Recomendacao, beber litros de agua por dia para ver se a pedra ia embora sem recorrer a operacao ou Litotricia...Assim que sentada ou andando e bebendo agua ate nao poder mais e logico, pipi, pipi, mil vezes. Uma tortura, mas ali estava  Marco me ajudando com sua maozinha para ir ao  banheiro e me esperando com outro copo de agua na mao. E ele seguiu assim durante mais ou menos um mes. Tinha que esperar resultados antes de voltar ao
Mexico.
Como poder esquecer esta grande ajuda, mais moral, que fisica deste garoto de seis com sua enorme sensibilidade e amor?
Agora e todo um homem e continua me levando pela mao!!!!
como agradecer?

bebendo e bebendo :)

giovedì 22 marzo 2018

amores meus....




brincando:
 Tamara minha neta e meus bisnetos Lea, Moishe e Michaelito!


Dominique e Michaelito!

e o ultimo aqui Moshe!!!

venerdì 16 marzo 2018

sera?

el ser mas vulnerable de este mundo
és el poeta el artista
creador de imàgenes
de metaforas
su carencia de ternura
y compreensiòn
ès imensa
carencia que se vuelve
grito de rebeliòn revestida
de belleza
critica social disfrazada de ironia

domenica 11 marzo 2018

venerdì 9 marzo 2018

encontrei ....



minha mesa para desenhar




eu naquela epoca...

giovedì 8 marzo 2018

vaga mundo!!!!!!!!!!!!!!!


por onde andas

neste mundo fundo
vagabundo sabio
sabio e profundo
com teus passos
cheios de luz
me dàs um raio
de alegria

és
mais livre
que todos
que te rodean
sinto
vejo
entendo

te invejo

mercoledì 7 marzo 2018


ah! deus
adeus
os dois
irmaos
destinados
à separaçao
amigos
impulsivos
agressivos
cheios daquele carinho
escondido
e
às cegas
sem prever sem querer
levados como castigados

- ainda nao sabiam -

por aquele destino
desenhado
pelo mesmo destino
separados
sempre unidos
por um diferente
e
igual destino
repressivo depressivo
com tudo e des-unidos
distancia paises vidas
diferentes
iguais um ao outro
mesmas saudades
sentimentos sensaçoes

siameses?
quasi

aos dois
nunca adeus.


lunedì 5 marzo 2018


Maitre des lieux
Les souvenirs  prennent leurs élans….

Sont à l’affut
Du  chaos, qu’elle me dit
De sa voix rauque   
Et essaye de rétrecir
L’harmonie de ma mémoire

Je lui souris
Et réponds tout en  égrenant
Mon rosaire de sentiments jamais oubliés
Ne rode point  comme un oiseau de mauvais augure
Ne ronge pas comme les souris des campagnes
Mes émotions malgré tout  malgré tous
Tellement présents
T’es ma seule compagne

Solitude veux-tu bien  foutre le camp…



sabato 3 marzo 2018

escaliers 4

Escalier apporte-moi quelqu’un, ou emporte-moi quelque part et surtout sans plus me faire tomber. Ni par terre ni en l’air ni dans les bras d’un mort vivant ou d’un quelconque ex,'''' Pour moi...
 45 les marches de mes escaliers.  Multiplier par 30, et  si cela n’est pas assez comme exercice journalier, qu’est-ce qui vous faut de plus!

 Elle continue à écrire des parole sans aucun sens, laissons-la faire.

Je voudrais être- naïve, j’sais bien,- écrivain de métier. Ils écrivent si bien des histories qui ne sont pas arrivées mais qui en ont tout à fait l’air  de l’avoir été. Ce langage,  chaque jour nouveau, me fait peur : ne veux pas dégager une odeur de moisi, et  souhaite encore moins d’avoir l’air ridicule en employant le vocabulaire de nos jours, des jeunes ou plus jeunes . Autre question à délucider, restera sans solution.

Cette séance d’écriture devra un jour s’achever. Elle doit s’esquiver par manque d’intérêt. Il faut l’admettre. 

Suis têtue, je continue avec mes escaliers. Ils m’ont accompagnés toute ma vie. Je m’en rends compte aujourd’hui. Je succombe  dans l’embrasure des souvenirs et je me vois entourée d’escaliers comme des vagues  gigantesques qui vont m’engloutir.
Mais avant que cela arrive, j’ai encore le temps d’aller m’asseoir au bar d’en face sur la petite piazza  savourer ma glace au chocolat ? .Aujourd’hui elle est tranquille , il n’y à personne. Vacances et tous partent comme des moutons qui vont paître, à se brûler au soleil, ne pas trouver de place sur les plages innondées de personnes fatiguées , d’enfants qui hurlent, ou qui se perdent, pendant que leurs parents se saoulent à la bière, ne plus trouver d’eau , l’hotel prénotés, tous des voleurs – sorry, pas de place – mais nous avions résérvés par Internet, etc. ..enfin, suis bien là assise, sans personne pour me regarder d’un drôle d’oeil, peux  lécher ma glace au chocolat, en paix .En plus, il semblerait que le chocolat est bon pour la déprime, que je me dis toujours que  c’est pas vrai. Aucune dépré, juste la solitude dont je suis déjà saturée et dans laquelle le destin d’une manière furtive m’à enfermée.




venerdì 2 marzo 2018

escaliers 3



 je vais devoir garder ma porte fermée.

 

Zut, tant que j’y suis, l’envie me prends 
de fermer aussi fenêtres, vitres, tout. 
Tout. M’enfermer dans moi-même. J’serai 
plus à mon aise en dedans.Oui, de moi. J’y 
trouve quoi dans moi? Voyons,  des sources 
de couleurs, de formes, d’ idées, un peu 
moins, je sens que je voudrais écrire mais, 
quoi? Des conneries, d’accord ce seront 
donc des sources de bêtises. Tant qu’à 
faire, puisqu’il me reste si peu à faire. 
Fais-le, dit-elle sans me laisser ni 
respirer.Dedans. Dans mon MOI. Elle est 
toujours ici. Ne me lâche  pas. Ouf.

Ma demeure se remplit chaque fois plus 
d’esprits, et d’esprit, si j’ose au moins 
le dire, le souhaite, je voudrais , 
cependant,et malgré toute mon incertitude, 
de toujours, monter encore. Escaliers ou 
autres. En vain j’essaye de réunir 
activités, d’un passé rempli de luttes et 
travail, avec mon présent inexprimable, 
évaporé, sans imprévus, sans aucun trouble  
dans cet abîme  de solitude mais aussi 
d’incohérence intime. Les nuits blanches se 
joignent aux journées grises, plus laides 
que  le noir absolu.

En fureur de sainteté, ou en odeur de 
sainteté? Je préfère la fureur. Qu’-est-ce 
c’est que tu racontes? Tu ne sais  pas ce 
que tu dis. Rien  à voir , l’un avec 
l’autre. Je sais, j’écris n’importe quoi , 
juste parce que j’aime les paroles,  les 
expressions. J’sais pas mais, c’est comme 
cela, si quelque chose m’arrive je 
l’attrappe, paroles ou  autres, je me sens 
comme le vent ou plutôt comme la 
brise,celle-ci est plus aimable-  ce qui 
m’atteint, je le mets en cage.  Un jour je 
les feraient surgir quelque part.Et si non, 
eh bien elles resteront ici. Attendre de 
naître ou renaître, comme moi, j’attends 
depuis un si long temps.Je baffouille, oui, 
et alors?