sabato 2 febbraio 2008

contre toutes les guerres



contre toutes les guerres
n’importe où
n’importe quand
n’importe comment
discours à n'en plus finir
murmures paroles paroles
paroles...

mais, oh mais
déchirants cris
cantilènes complaintes
Nous blessent
Nous heurtent
telle une hémorragie
On s’éxténue
On parle on pleure
On manifeste
on poursuit l’ennemi.
Rien à faire
La mémoire n’y est plus
comme une entorse
Faite de fils de fers
Inexplicable
Avide
D’éteindre là au loin un semblant de lumière…
Pourquoi pas atteindre
Ce dernier rayon de lumière
Là-bas au loin
Malgré et peut - ^etre , oui,
Lacérer ces rumeurs
Saturées d’angoisses d’anxietés
A la recherche d'un temps perdu
une paix partout eclaboussée de guerres

La mémoire s’est envolée
La mémoire est tombée
cassée
Faudrait recoller les milles petits
si petits presqu’ invisibles morceaux.

L’amnésie est plus forte.

2 commenti:

Anonimo ha detto...

rechercher le temps perdu
c´est impossible
me retrouver est trop penible

dominique ha detto...

lindo! y tambien muy bueno el comentario poema do tio Gigi..:)