giovedì 14 dicembre 2017

Vengerance...continuation...

....................
Oui, c’est cela, je lévite,je m’en vais plus haut encore et me trouve parmi les nuages, ou non? Pourquoi? Je crois que c’est la surprise , car j’entends parler à tous les coins et non seulement dans les coins, partout, au bar de la petite Piazza, en me baladant, j’entends parler , roumain. Me suis enfuie de là-bas, , et voilà qu’il me revient, m’attrappe, me poursuit, ce pays. Parfois, je crois que j’suis a Bucarest!!! Même la jeune femme qui vient une fois par semaine mettre de l’ordre dans tout mon désordre immense, est roumaine.!
Et moi, je recommenceà le parler comme si de rien! Serait-ce vrai comme disait Ch. Peguy: “ tout change et tout reste comme avant”
Quelque chose comme cela, mais moi pas du tout envie
de retourner au pays de Ceaucescu et Dracula, c’est le cas de le dire, allez – au diable.
Autant de roumans ici et parait-il un peu partout, sur, ils se préparent à faire partie de l’Europe, comme si cela ne l’était pas depuis toujours, ah, la politique.!
Même dans beaucoup de livres on parle de la Roumanie et l’histoire de Vlad Teles, Dracula, est à la mode!!! La mode….
Le bruit monotone des roues du train sur les rails, l’Orient-Express. Paris.
Une peur enfantine devenue adulte aussi rapidement que les brusques changements d’une vie à peine commencée.
Tout cela me tourne dans la tête depuis que j’entends la langue de mon enfance chaque fois que je sors., ou ne sors pas . Elle encombre de sa présence, ma vie ici. Drôle? non pas du tout, moi qui n’aime pas me souvenir de mes souvenirs, voici, que je ne fais que cela. Partir, arriver, changer, repartir, rester pas rester, indécision, fuite toujours de quelque chose , pour quelque raison, j’en ai marre!!!! Laissez-moi, donc , tranquille! Passé, re-passé, avenir, le prèsent, il n’existe pas.Il disparaît trop vite.. Cependant, c’est dingue ce qu’il me fait souffrir, toujours accompagné de mon amieennemie, la solitude.

La chair me brûle, me sens vulnérable, mon souffle se coupe dans un atroce silence, les rumeurs de la vie ne m’emportent plus, suis “statufiée “ d’attentes.
La chanson de Tino Rossi, “ J’attendrais “..- mon Dieu comme je suis vieille- j’avais je crois six ans, ou moins, - fait maintenant et depuis un long temps,- partie de me vie Je me rappelle, on avaient un piano à la maison, mon frère prenait des leçons , et moi les seules notes que je savais c’ètaient les premières , de cette chanson qui – par son nom – oh ! destin – sont devenues, réalité.





Nessun commento: