domenica 31 dicembre 2017
venerdì 29 dicembre 2017
giovedì 28 dicembre 2017
mercoledì 27 dicembre 2017
martedì 26 dicembre 2017
domenica 24 dicembre 2017
sabato 23 dicembre 2017
giovedì 21 dicembre 2017
mercoledì 20 dicembre 2017
martedì 19 dicembre 2017
palavras ao vento...
desmaiar
no vazio
cair
sem se
ferir
um milhar
de luzes
a brilhar
acordar
e olhar
o que ?
NADA!
no vazio
cair
sem se
ferir
um milhar
de luzes
a brilhar
acordar
e olhar
o que ?
NADA!
lunedì 18 dicembre 2017
sabato 16 dicembre 2017
algo en Velletri en esta epoca...
venerdì 15 dicembre 2017
...ultima parte..
Les objets. Les objets ont leurs destins, oui, c’est vrai, comme nous tous. Pas toujours indépendents. Je sens qu’un nuage me soulève à nouveau, comme un objet qu’on mets ici, ou là, n’importe où. Bien gardé. J’attendrais, sans essayer de jouer au piano,-lequel d’ailleurs je n’ai pas - , la vieille chanson de mon enfance.
J’peux plus parler des objets. J'en suis devenu , un, d'objet, et j’attends comme eux m'attendent, la "su ", sans plus léviter , ni partir dans les nuages.
" Sono ancora qui, giu!"
Et à présent, que j’ai craché ce que j’avais dans mon coeur, je vais pouvoir commencer une autre aventure avec la toile qui m’attends dans mon atelier.
J’peux plus parler des objets. J'en suis devenu , un, d'objet, et j’attends comme eux m'attendent, la "su ", sans plus léviter , ni partir dans les nuages.
" Sono ancora qui, giu!"
Et à présent, que j’ai craché ce que j’avais dans mon coeur, je vais pouvoir commencer une autre aventure avec la toile qui m’attends dans mon atelier.
giovedì 14 dicembre 2017
Vengerance...continuation...
....................
Oui, c’est cela, je lévite,je m’en vais plus haut encore et me trouve parmi les nuages, ou non? Pourquoi? Je crois que c’est la surprise , car j’entends parler à tous les coins et non seulement dans les coins, partout, au bar de la petite Piazza, en me baladant, j’entends parler , roumain. Me suis enfuie de là-bas, , et voilà qu’il me revient, m’attrappe, me poursuit, ce pays. Parfois, je crois que j’suis a Bucarest!!! Même la jeune femme qui vient une fois par semaine mettre de l’ordre dans tout mon désordre immense, est roumaine.!
Et moi, je recommenceà le parler comme si de rien! Serait-ce vrai comme disait Ch. Peguy: “ tout change et tout reste comme avant”
Quelque chose comme cela, mais moi pas du tout envie
de retourner au pays de Ceaucescu et Dracula, c’est le cas de le dire, allez – au diable.
Autant de roumans ici et parait-il un peu partout, sur, ils se préparent à faire partie de l’Europe, comme si cela ne l’était pas depuis toujours, ah, la politique.!
Même dans beaucoup de livres on parle de la Roumanie et l’histoire de Vlad Teles, Dracula, est à la mode!!! La mode….
Le bruit monotone des roues du train sur les rails, l’Orient-Express. Paris.
Une peur enfantine devenue adulte aussi rapidement que les brusques changements d’une vie à peine commencée.
Tout cela me tourne dans la tête depuis que j’entends la langue de mon enfance chaque fois que je sors., ou ne sors pas . Elle encombre de sa présence, ma vie ici. Drôle? non pas du tout, moi qui n’aime pas me souvenir de mes souvenirs, voici, que je ne fais que cela. Partir, arriver, changer, repartir, rester pas rester, indécision, fuite toujours de quelque chose , pour quelque raison, j’en ai marre!!!! Laissez-moi, donc , tranquille! Passé, re-passé, avenir, le prèsent, il n’existe pas.Il disparaît trop vite.. Cependant, c’est dingue ce qu’il me fait souffrir, toujours accompagné de mon amieennemie, la solitude.
La chair me brûle, me sens vulnérable, mon souffle se coupe dans un atroce silence, les rumeurs de la vie ne m’emportent plus, suis “statufiée “ d’attentes.
La chanson de Tino Rossi, “ J’attendrais “..- mon Dieu comme je suis vieille- j’avais je crois six ans, ou moins, - fait maintenant et depuis un long temps,- partie de me vie Je me rappelle, on avaient un piano à la maison, mon frère prenait des leçons , et moi les seules notes que je savais c’ètaient les premières , de cette chanson qui – par son nom – oh ! destin – sont devenues, réalité.
Oui, c’est cela, je lévite,je m’en vais plus haut encore et me trouve parmi les nuages, ou non? Pourquoi? Je crois que c’est la surprise , car j’entends parler à tous les coins et non seulement dans les coins, partout, au bar de la petite Piazza, en me baladant, j’entends parler , roumain. Me suis enfuie de là-bas, , et voilà qu’il me revient, m’attrappe, me poursuit, ce pays. Parfois, je crois que j’suis a Bucarest!!! Même la jeune femme qui vient une fois par semaine mettre de l’ordre dans tout mon désordre immense, est roumaine.!
Et moi, je recommenceà le parler comme si de rien! Serait-ce vrai comme disait Ch. Peguy: “ tout change et tout reste comme avant”
Quelque chose comme cela, mais moi pas du tout envie
de retourner au pays de Ceaucescu et Dracula, c’est le cas de le dire, allez – au diable.
Autant de roumans ici et parait-il un peu partout, sur, ils se préparent à faire partie de l’Europe, comme si cela ne l’était pas depuis toujours, ah, la politique.!
Même dans beaucoup de livres on parle de la Roumanie et l’histoire de Vlad Teles, Dracula, est à la mode!!! La mode….
Le bruit monotone des roues du train sur les rails, l’Orient-Express. Paris.
Une peur enfantine devenue adulte aussi rapidement que les brusques changements d’une vie à peine commencée.
Tout cela me tourne dans la tête depuis que j’entends la langue de mon enfance chaque fois que je sors., ou ne sors pas . Elle encombre de sa présence, ma vie ici. Drôle? non pas du tout, moi qui n’aime pas me souvenir de mes souvenirs, voici, que je ne fais que cela. Partir, arriver, changer, repartir, rester pas rester, indécision, fuite toujours de quelque chose , pour quelque raison, j’en ai marre!!!! Laissez-moi, donc , tranquille! Passé, re-passé, avenir, le prèsent, il n’existe pas.Il disparaît trop vite.. Cependant, c’est dingue ce qu’il me fait souffrir, toujours accompagné de mon amieennemie, la solitude.
La chair me brûle, me sens vulnérable, mon souffle se coupe dans un atroce silence, les rumeurs de la vie ne m’emportent plus, suis “statufiée “ d’attentes.
La chanson de Tino Rossi, “ J’attendrais “..- mon Dieu comme je suis vieille- j’avais je crois six ans, ou moins, - fait maintenant et depuis un long temps,- partie de me vie Je me rappelle, on avaient un piano à la maison, mon frère prenait des leçons , et moi les seules notes que je savais c’ètaient les premières , de cette chanson qui – par son nom – oh ! destin – sont devenues, réalité.
martedì 12 dicembre 2017
et je continue:
....................................................
“Parlami d’amore , Mariu, tutta la mia vita sei tu “,et comme dans cette chanson napolitaine, je les adore les chansons napolitaines, “ tutta la mia vita sei tu..(mariu ).”, “tutta la mia vita è la su, -Hollande-.et oui, cela ne rime pas comme avec “ mariu “ni avec rien, enfin.
Voilà j’en ai fait une de rime, pour blaguer, faut pas se prendre trop au sérieux.
On me demande des catalogues, des critiques , des photos . De tout et sur tous, toute ma vie, quoi! Pour un soi-disant documentaire…je l’attends encore, ce fameux documentaire....
Mais, moi j’ai besoin de mes livres, de toucher mon cher vieux Larousse, et cependant, “tutta la mia vita è la su” . Elle m’attends, et moi j’attends de les revoir , de les avoir, de les toucher, de les voir.
Le destin des “choses”, j’en suis sûre . maintenant, que les objets, les “choses” comme je dis, ne suivent pas toujours leurs propiétaires. Ils sont souvent, indépendents. Plus que nous. Nous, nous avons un destin déterminé , j’sais pas par qui ou par quoi, mais , il n’y à rien a faire ,cela est ainsi. Chaque jour j’en suis plus que convaincue.
“Parlami d’amore , Mariu, tutta la mia vita sei tu “,et comme dans cette chanson napolitaine, je les adore les chansons napolitaines, “ tutta la mia vita sei tu..(mariu ).”, “tutta la mia vita è la su, -Hollande-.et oui, cela ne rime pas comme avec “ mariu “ni avec rien, enfin.
Voilà j’en ai fait une de rime, pour blaguer, faut pas se prendre trop au sérieux.
On me demande des catalogues, des critiques , des photos . De tout et sur tous, toute ma vie, quoi! Pour un soi-disant documentaire…je l’attends encore, ce fameux documentaire....
Mais, moi j’ai besoin de mes livres, de toucher mon cher vieux Larousse, et cependant, “tutta la mia vita è la su” . Elle m’attends, et moi j’attends de les revoir , de les avoir, de les toucher, de les voir.
Le destin des “choses”, j’en suis sûre . maintenant, que les objets, les “choses” comme je dis, ne suivent pas toujours leurs propiétaires. Ils sont souvent, indépendents. Plus que nous. Nous, nous avons un destin déterminé , j’sais pas par qui ou par quoi, mais , il n’y à rien a faire ,cela est ainsi. Chaque jour j’en suis plus que convaincue.
Vengeance de La Petite Piazza - Velletri - fragmento
Pas de titre. Pas d’idées. Des chansons qui me trottent dans la tête, “ parlami d’amore, mariu, tutta la mia vita sei tu...”- tutta la mia è la su - ... Tino Rossi, mon enfance: “ J’attendrais...” eh, oui je ne fais que cela depuis , qui sait, toujours...enfin.
La toile, nue, me regarde d’un air de défi ainsi que l’ordinateur. J’ne veux même pas leurs répondre. Que pourrais-je écrire et que pourrais-je bien dessiner! Suis vide ou qui sait,exténuée de remplir les toiles de mes éternelles lignes et parler pour ne rien dire d’intéréssant pour qui que se soit. Ni meme pour moi.
Cependant, je vais peindre , écrire , au moins de cette façon mes doigts font quelque chose.Même si moi, j’fous rien.
Mes jambes ont leurs exercices, les fameux escaliers montés et descendus mille fois par jour!
Donc mes doigts sont obligés à avoir, les leurs, d’exercices.
Un petit verre de whiskey, et allez, commence à jeter ta première ligne, sur cette toile qui est là à te défier depuis de longs jours. Ne sois pas lâche. Tu ne l’à jamais été. Commence pas à présent. Vas-y- Tu sais bien qu’à la fin c’est toujours toi que gagne! Qu’elle me dit. Oui, elle est là, ne me lache jamais.
D’acc. J’y vais, m’engueule pas. Un petit solitaire avant de commencer , si je gagne ce sera un bon signe.J’aurai plein d’idées. La toile sera innondée de beauté. Si je perds, elle devra aller à la poubelle. Je gagne, olé!
Toujours avec mes superstitions idiotes, comme si je n’avais pas assez avec toutes celles héritées de tous les pays où j’ai vécu, je m’en invente d’autres et encore plus stupides. Qu’est-ce que perdre ou gagner à un jeu peut bien avoir à faire avec peindre bien ou non!!!
Je joue avec moi – même. C’est, cependant, beaucoup mieux, que de faire cents pas tout autour de ma tête et déborder des bêtises sur le papier. Dans ce cas , l’ordinateur.
a cancao que me acompanhou
na minha infancia
J'attendrai le jour et la nuit
J'attendrai toujours ton retour
J'attendrai car l'oiseau qui s'enfuit
vient chercher l'oubli dans son nid
Le temps passe et court en battant tristement
dans mon coeur si lourd
Et pourtant j'attendrai ton retour
J'attendrai le jour et la nuit
J'attendrai toujours ton retour
J'attendrai car l'oiseau qui s'enfuit
vient chercher l'oubli dans son nid
Le temps passe et court en battant tristement
dans mon coeur si lourd
Et pourtant j'attendrai ton retour
Le vent m'apporte de bruits lointains
Guettant ma porte j'écoute en vain
Hélas, plus rien plus rien ne vient
J'attendrai le jour et la nuit
J'attendrai toujours ton retour
J'attendrai car l'oiseau qui s'enfuit
=====================================
saudosismo.......
La toile, nue, me regarde d’un air de défi ainsi que l’ordinateur. J’ne veux même pas leurs répondre. Que pourrais-je écrire et que pourrais-je bien dessiner! Suis vide ou qui sait,exténuée de remplir les toiles de mes éternelles lignes et parler pour ne rien dire d’intéréssant pour qui que se soit. Ni meme pour moi.
Cependant, je vais peindre , écrire , au moins de cette façon mes doigts font quelque chose.Même si moi, j’fous rien.
Mes jambes ont leurs exercices, les fameux escaliers montés et descendus mille fois par jour!
Donc mes doigts sont obligés à avoir, les leurs, d’exercices.
Un petit verre de whiskey, et allez, commence à jeter ta première ligne, sur cette toile qui est là à te défier depuis de longs jours. Ne sois pas lâche. Tu ne l’à jamais été. Commence pas à présent. Vas-y- Tu sais bien qu’à la fin c’est toujours toi que gagne! Qu’elle me dit. Oui, elle est là, ne me lache jamais.
D’acc. J’y vais, m’engueule pas. Un petit solitaire avant de commencer , si je gagne ce sera un bon signe.J’aurai plein d’idées. La toile sera innondée de beauté. Si je perds, elle devra aller à la poubelle. Je gagne, olé!
Toujours avec mes superstitions idiotes, comme si je n’avais pas assez avec toutes celles héritées de tous les pays où j’ai vécu, je m’en invente d’autres et encore plus stupides. Qu’est-ce que perdre ou gagner à un jeu peut bien avoir à faire avec peindre bien ou non!!!
Je joue avec moi – même. C’est, cependant, beaucoup mieux, que de faire cents pas tout autour de ma tête et déborder des bêtises sur le papier. Dans ce cas , l’ordinateur.
a cancao que me acompanhou
na minha infancia
J'attendrai le jour et la nuit
J'attendrai toujours ton retour
J'attendrai car l'oiseau qui s'enfuit
vient chercher l'oubli dans son nid
Le temps passe et court en battant tristement
dans mon coeur si lourd
Et pourtant j'attendrai ton retour
J'attendrai le jour et la nuit
J'attendrai toujours ton retour
J'attendrai car l'oiseau qui s'enfuit
vient chercher l'oubli dans son nid
Le temps passe et court en battant tristement
dans mon coeur si lourd
Et pourtant j'attendrai ton retour
Le vent m'apporte de bruits lointains
Guettant ma porte j'écoute en vain
Hélas, plus rien plus rien ne vient
J'attendrai le jour et la nuit
J'attendrai toujours ton retour
J'attendrai car l'oiseau qui s'enfuit
=====================================
saudosismo.......
lunedì 11 dicembre 2017
importante para mim e para quem tem obras minhas:
INTERNATIONAL CONNECTIONS
THROUGH THE KINETIC:
TRANSATLANTIC DIALOGUES
BETWEEN EASTERN EUROPE AND
LATIN AMERICA
Daniel Garza Usabiaga
was awarded a PhD in Art History and Theory from the University
of Essex and has concluded Postdoctoral
Studies at the Institute of Aesthetic Research
at the National Autonomous University
of Mexico (UNAM). He is the author of Mathias
Georitz and Emotional Architecture: A Critical Review,
1952–1968 (Vanilla Planifolia, 2011). He
was previously Curator at the Museum of Modern
Art in Mexico City and Chief Curator at the
Museo Universitario del Chopo. Currently he
is a Lecturer at the National School of Painting,
Sculpture, and Etching La Esmeralda and Artistic
Director of Zona Maco, the contemporary
art fair in Mexico City.
The relations between artists and artistic practices in Latin America
and Eastern Europe during the postwar and Cold War years is
a rich field of inquiry, and offers several avenues of research. Regarding
the theme of the kinetic, three case studies will be introduced,
all involving connections between Mexico and Eastern Europe. Each
will revisit possible understandings of the kinetic, a term and practice
that have historically been defined and understood in different
manners.
The first case regards the work of Myra Landau, a
Romanian-born artist who went into exile as a result of the rise of
fascism and the Second World War in Europe. In Mexico, she produced
a series of works known as Rhythms which, although static, conform
to an understanding of the kinetic. The second case discusses
David Alfaro Siqueiros as a global modernizer of Realism.........
............
.
DANIEL GARZA USABIAGA
INTERNATIONAL CONNECTIONS THROUGH THE KINETIC
During the Cold War, Mexico marketed itself as a model
non-aligned nation, a position that the government championed as
part of its foreign policy of the 1970s. Mexico tailored this image—of
a highly cosmopolitan nation that transcended ideological conflicts
between the so-called “free” and “Communist” worlds—through a
system that mixed a market economy with revolutionary discourse
and public policies inspired by the ideals of the social revolution of
1910.
.........................................................................................................
DANIEL GARZA USABIAGA
while, in Mexico City, the Museum of Modern Art opened in 1964. By
the end of 1966, its program had featured two group exhibitions of
contemporary artists from Poland and Czechoslovakia. ....................
..........................................................................
Myra Landau´s Rhythms
Even before the outbreak of the Second World War,
many artists and architects from Eastern Europe settled in Latin
America, and this phenomenon continued during the global postwar
years. Several artists from these European countries developed a
practice with kinetic concerns and perceptual interests. Their production
encompassed two- or three-dimensional works that were
static or assisted by machines, or which achieved the effect of dynamism
or movement by different means; pieces produced, mainly, to
be exhibited in spaces such as museums and galleries.
Myra Landau is just one of the many artists born in Eastern Europe that later lived
and worked in Mexico during the twentieth century, and she can be
counted in this group.
Myra Landau produced works that relate to the kinetic.
Her work is endowed with certain concerns that seem to conform to
Guy Brett´s conception of the kinetic: “static works that are radical
and dynamic in their formal structures.”7 Born in Romania, she went
into exile first in Brazil and then to Mexico. Landau arrived in the capital
in 1960, became a Mexican citizen and lived in the country until
1994. In Mexico, she produced a coherent series of works comprised
of drawings, paintings, and textiles; under her concept of Rhythms
Arte Actual de Polonia (Contemporary Art from Poland) and Arte Actual Checoslovaco
(Czechoslovakian Contemporary Art) opened, respectively, in May and
September, 1966. For the full list of artists participating in these
exhibitions see La máquina visual. Una revision de las exposiciones del Museo de
Arte Moderno, 1964-1988, ed. Daniel Garza Usabiaga (Mexico City: Museo de
Arte Moderno, 2011), 237......................................................................................
......................................................................................
Rita Eder, a researcher and professor at the Instituto de Investigaciones
Estéticas at the National Autonomous University of Mexico, has mentioned
that in Landau’s works a system of forces (sustained in the
laws of chromatic and luminous rhythms) is altered by the subjective
imagination (highlighting, for example, the suggestive nature,
fugacity, and concrete values of the colors in each work)
Often cited as musical, her work goes beyond this domain and achieves the status
of vibration. Her artistic production (defined by the artist as “art
research”) showcases an awareness of energy translated into graphic
form.10 Landau played an active role in the development of non-figurative
art in Mexico during the 1960s and 1970s and also participated
in multidisciplinary and experimental activities such as the
Museo Dinámico (Dynamic Museum), an avant-garde project devised
by diplomat and Director of the National Institute of Fine Arts Miguel
Salas Anzures and architect Manuel Larrosa that sought new ways
to articulate the event of the exhibition.
David Alfaro Siqueiros and Postwar Realism
A second avenue of research, one that addresses the
changes to the practice of Realism in the 1950s, problematizes the
relationship between the kinetic and forms of abstract or non-objective
art. Several scholars have mentioned that Mexican Muralism
became one of the alternative models for forms of public art in Eastern
Europe during the years of “Thaw” Modernism.
Rita Eder, “Myra Landau: los laberintos y el desierto” http://www.galeria.
ferrari.xalapa.net/salavirtual/ml_eder.htm
INTERNATIONAL CONNECTIONS THROUGH THE KINETIC
Mari Carmen Ramírez, Director of the International Center
for the Arts of the Americas at The Museum of Fine Arts, Houston,
has mentioned one way in which Siqueiros can be viewed as a precursor
of a “kinetic constellation” within Latin American art: his
“main contribution to the theory movement was condensed in the
notion of the cinematographic mural, which was theorized after his
encounter with Sergei Eisenstein in 1932.”
International promotion of aesthetic platforms is a
consistent mark of the avant-garde, and during the 1950s, Siqueiros
traveled to several countries in order to promote experimentation
in Realism and create a legacy of Muralism as an avant-garde. In the
late summer of 1955, Siqueiros visited Poland, Czechoslovakia, and
the former USSR. In all of these places he criticized the classicist formulas
of Socialist Realism and condemned its lack of modern experimentation.
According to the Mexican press, during this trip Siqueiros
was able to secure a monumental commission from the Polish
state in order to execute a mural of more than 3,000 square meters
in the 10th Anniversary Stadium (Stadion Dziesiçiolecia) in Warsaw. The
production of the mural required the work of more than twenty artists,
including painters and sculptors. Siqueiros envisioned an international
team of Polish and Mexican artists, among other nationalities.
.................................................................................................................................
coloquei o que o autor Daniel Garza Usabiaga disse de mim e o grande muralista Siqueiros - o qual tive a sorte de conhecer!
espero que possam entender e apreciar .... infelizmente tive que cortar algo....
THROUGH THE KINETIC:
TRANSATLANTIC DIALOGUES
BETWEEN EASTERN EUROPE AND
LATIN AMERICA
Daniel Garza Usabiaga
was awarded a PhD in Art History and Theory from the University
of Essex and has concluded Postdoctoral
Studies at the Institute of Aesthetic Research
at the National Autonomous University
of Mexico (UNAM). He is the author of Mathias
Georitz and Emotional Architecture: A Critical Review,
1952–1968 (Vanilla Planifolia, 2011). He
was previously Curator at the Museum of Modern
Art in Mexico City and Chief Curator at the
Museo Universitario del Chopo. Currently he
is a Lecturer at the National School of Painting,
Sculpture, and Etching La Esmeralda and Artistic
Director of Zona Maco, the contemporary
art fair in Mexico City.
The relations between artists and artistic practices in Latin America
and Eastern Europe during the postwar and Cold War years is
a rich field of inquiry, and offers several avenues of research. Regarding
the theme of the kinetic, three case studies will be introduced,
all involving connections between Mexico and Eastern Europe. Each
will revisit possible understandings of the kinetic, a term and practice
that have historically been defined and understood in different
manners.
The first case regards the work of Myra Landau, a
Romanian-born artist who went into exile as a result of the rise of
fascism and the Second World War in Europe. In Mexico, she produced
a series of works known as Rhythms which, although static, conform
to an understanding of the kinetic. The second case discusses
David Alfaro Siqueiros as a global modernizer of Realism.........
............
.
DANIEL GARZA USABIAGA
INTERNATIONAL CONNECTIONS THROUGH THE KINETIC
During the Cold War, Mexico marketed itself as a model
non-aligned nation, a position that the government championed as
part of its foreign policy of the 1970s. Mexico tailored this image—of
a highly cosmopolitan nation that transcended ideological conflicts
between the so-called “free” and “Communist” worlds—through a
system that mixed a market economy with revolutionary discourse
and public policies inspired by the ideals of the social revolution of
1910.
.........................................................................................................
DANIEL GARZA USABIAGA
while, in Mexico City, the Museum of Modern Art opened in 1964. By
the end of 1966, its program had featured two group exhibitions of
contemporary artists from Poland and Czechoslovakia. ....................
..........................................................................
Myra Landau´s Rhythms
Even before the outbreak of the Second World War,
many artists and architects from Eastern Europe settled in Latin
America, and this phenomenon continued during the global postwar
years. Several artists from these European countries developed a
practice with kinetic concerns and perceptual interests. Their production
encompassed two- or three-dimensional works that were
static or assisted by machines, or which achieved the effect of dynamism
or movement by different means; pieces produced, mainly, to
be exhibited in spaces such as museums and galleries.
Myra Landau is just one of the many artists born in Eastern Europe that later lived
and worked in Mexico during the twentieth century, and she can be
counted in this group.
Myra Landau produced works that relate to the kinetic.
Her work is endowed with certain concerns that seem to conform to
Guy Brett´s conception of the kinetic: “static works that are radical
and dynamic in their formal structures.”7 Born in Romania, she went
into exile first in Brazil and then to Mexico. Landau arrived in the capital
in 1960, became a Mexican citizen and lived in the country until
1994. In Mexico, she produced a coherent series of works comprised
of drawings, paintings, and textiles; under her concept of Rhythms
Arte Actual de Polonia (Contemporary Art from Poland) and Arte Actual Checoslovaco
(Czechoslovakian Contemporary Art) opened, respectively, in May and
September, 1966. For the full list of artists participating in these
exhibitions see La máquina visual. Una revision de las exposiciones del Museo de
Arte Moderno, 1964-1988, ed. Daniel Garza Usabiaga (Mexico City: Museo de
Arte Moderno, 2011), 237......................................................................................
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Rita Eder, a researcher and professor at the Instituto de Investigaciones
Estéticas at the National Autonomous University of Mexico, has mentioned
that in Landau’s works a system of forces (sustained in the
laws of chromatic and luminous rhythms) is altered by the subjective
imagination (highlighting, for example, the suggestive nature,
fugacity, and concrete values of the colors in each work)
Often cited as musical, her work goes beyond this domain and achieves the status
of vibration. Her artistic production (defined by the artist as “art
research”) showcases an awareness of energy translated into graphic
form.10 Landau played an active role in the development of non-figurative
art in Mexico during the 1960s and 1970s and also participated
in multidisciplinary and experimental activities such as the
Museo Dinámico (Dynamic Museum), an avant-garde project devised
by diplomat and Director of the National Institute of Fine Arts Miguel
Salas Anzures and architect Manuel Larrosa that sought new ways
to articulate the event of the exhibition.
David Alfaro Siqueiros and Postwar Realism
A second avenue of research, one that addresses the
changes to the practice of Realism in the 1950s, problematizes the
relationship between the kinetic and forms of abstract or non-objective
art. Several scholars have mentioned that Mexican Muralism
became one of the alternative models for forms of public art in Eastern
Europe during the years of “Thaw” Modernism.
Rita Eder, “Myra Landau: los laberintos y el desierto” http://www.galeria.
ferrari.xalapa.net/salavirtual/ml_eder.htm
INTERNATIONAL CONNECTIONS THROUGH THE KINETIC
Mari Carmen Ramírez, Director of the International Center
for the Arts of the Americas at The Museum of Fine Arts, Houston,
has mentioned one way in which Siqueiros can be viewed as a precursor
of a “kinetic constellation” within Latin American art: his
“main contribution to the theory movement was condensed in the
notion of the cinematographic mural, which was theorized after his
encounter with Sergei Eisenstein in 1932.”
International promotion of aesthetic platforms is a
consistent mark of the avant-garde, and during the 1950s, Siqueiros
traveled to several countries in order to promote experimentation
in Realism and create a legacy of Muralism as an avant-garde. In the
late summer of 1955, Siqueiros visited Poland, Czechoslovakia, and
the former USSR. In all of these places he criticized the classicist formulas
of Socialist Realism and condemned its lack of modern experimentation.
According to the Mexican press, during this trip Siqueiros
was able to secure a monumental commission from the Polish
state in order to execute a mural of more than 3,000 square meters
in the 10th Anniversary Stadium (Stadion Dziesiçiolecia) in Warsaw. The
production of the mural required the work of more than twenty artists,
including painters and sculptors. Siqueiros envisioned an international
team of Polish and Mexican artists, among other nationalities.
.................................................................................................................................
coloquei o que o autor Daniel Garza Usabiaga disse de mim e o grande muralista Siqueiros - o qual tive a sorte de conhecer!
espero que possam entender e apreciar .... infelizmente tive que cortar algo....
domenica 10 dicembre 2017
sabato 9 dicembre 2017
giovedì 7 dicembre 2017
mercoledì 6 dicembre 2017
continuacao - texto de Fausto Rofrigues Valle
Abro o exemplar à minha frente, ao acaso:
... e me encontro no meio da bela paisagem
e você entre risos e olhares vivazes, fala
— ali do outro lado é Lausanne,
o vilarejo à esquerda é Evian,
Genebra e Vevey mais adiante, à direita,
e eu sem tirar os olhos do seu belo rosto
não ouso interromper suas palavras matutinas,
elas escorrem dos seus lábios-cereja,
caminham pelo seu delicado queixo,
pelo seu pescoço, alvo cisne,
envolvem seu corpo de menina em flor,
com a brisa vinda da Suíça,
como se penteado por alpinas águas cristalinas
e a envolve numa névoa de mágica pureza.
Não tive a intenção de fazer citações, mas elas são inevitáveis. Transcrevi o trecho acima, do poema FAZ MUITO TEMPO, num a escolha casual, apenas para que o leitor sinta o ambiente lírico da poesia de Iosif. O poeta, ao mesmo tempo em que se extasia frente ao “pescoço alvo cisne” de uma jovem, é capaz de pegar o relho e bater duro nas imperfeições da sociedade humana, como no poema DIGNIDADE. No poema SANTA, extravasa ternura, desnudando o coração num canto de amor por sua mãe.
Em todo o correr dessas páginas, mostra-se com toda alma e corpo, encantado com a vida, apesar das crises e adversidades. Não há como ler a poesia de Iosif sem reconhecê-lo nos versos e não há, também, como não nos reconhecer nos momentos de intensa e cristalina exposição de alma. Já disse outro poeta brasileiro — e aqui repito: não há poema isento. Há é o homem, com suas virtudes e defeitos, a caminhar por esta senda existencial, cheia de sombras e percalços, mas também de muita luz, de maravilhosas portadas, onde experimentamos a fruição da vida. Por mais que o poeta queira se ausentar de sua vivência, não consegue. Não é o caso de Iosif Landau, que não tenta ausentar-se do poema. Ele o incorpora e consegue transferir para o leitor todos os sentimentos vividos (ou não). A expressividade do título, EU VI, mostra claramente que o autor não deseja camuflar a alma, nem escamotear sentimentos.
Seu estilo descritivo soa bem aos nossos ouvidos, seus versos têm o ritmo do coração e nos calam fundo. Como diz o próprio poeta, o conservadorismo, o rigor e o artesanato como o de Eliot, cansaram-no. A leitura de Kerouac levou-o aos poetas “malditos”, apaixonando-se pelos seus textos, paixão consolidada pela ligação que tinham com uma das admirações do poeta, o jazz, de que é grande conhecedor. Se alguém encontrar semelhança de Iosif Landau com os poetas beat, não é mera coincidência, portanto. O motivo está evidente.
Percebe-se ainda, em seus poemas, um claro amor pela vida, em todas as suas significações e nuanças, embora lamente o envelhecimento, não porque tenha medo do curso natural da existência, mas pelas limitações que a velhice impõe ao corpo. A alma do poeta é jovem, condição claramente manifesta em sua poesia.
Escrever sobre o sentido essencial da poesia de Iosif Landau é tarefa acima de minhas forças. Apenas posso sentir — e sinto profundamente — o seu sentido. Gostaria que os leitores deixassem de lado minhas palavras e viajassem pelas páginas do livro e se embriagassem em seus versos, que falarão melhor do que quem escreve esse texto, que tem como principal galardão a felicidade de ser amigo do poeta. E amigo não fala tudo, com receio de cometer excessos. Vejam com os próprios olhos.
--------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Fausto Rodrigues Valle
... e me encontro no meio da bela paisagem
e você entre risos e olhares vivazes, fala
— ali do outro lado é Lausanne,
o vilarejo à esquerda é Evian,
Genebra e Vevey mais adiante, à direita,
e eu sem tirar os olhos do seu belo rosto
não ouso interromper suas palavras matutinas,
elas escorrem dos seus lábios-cereja,
caminham pelo seu delicado queixo,
pelo seu pescoço, alvo cisne,
envolvem seu corpo de menina em flor,
com a brisa vinda da Suíça,
como se penteado por alpinas águas cristalinas
e a envolve numa névoa de mágica pureza.
Não tive a intenção de fazer citações, mas elas são inevitáveis. Transcrevi o trecho acima, do poema FAZ MUITO TEMPO, num a escolha casual, apenas para que o leitor sinta o ambiente lírico da poesia de Iosif. O poeta, ao mesmo tempo em que se extasia frente ao “pescoço alvo cisne” de uma jovem, é capaz de pegar o relho e bater duro nas imperfeições da sociedade humana, como no poema DIGNIDADE. No poema SANTA, extravasa ternura, desnudando o coração num canto de amor por sua mãe.
Em todo o correr dessas páginas, mostra-se com toda alma e corpo, encantado com a vida, apesar das crises e adversidades. Não há como ler a poesia de Iosif sem reconhecê-lo nos versos e não há, também, como não nos reconhecer nos momentos de intensa e cristalina exposição de alma. Já disse outro poeta brasileiro — e aqui repito: não há poema isento. Há é o homem, com suas virtudes e defeitos, a caminhar por esta senda existencial, cheia de sombras e percalços, mas também de muita luz, de maravilhosas portadas, onde experimentamos a fruição da vida. Por mais que o poeta queira se ausentar de sua vivência, não consegue. Não é o caso de Iosif Landau, que não tenta ausentar-se do poema. Ele o incorpora e consegue transferir para o leitor todos os sentimentos vividos (ou não). A expressividade do título, EU VI, mostra claramente que o autor não deseja camuflar a alma, nem escamotear sentimentos.
Seu estilo descritivo soa bem aos nossos ouvidos, seus versos têm o ritmo do coração e nos calam fundo. Como diz o próprio poeta, o conservadorismo, o rigor e o artesanato como o de Eliot, cansaram-no. A leitura de Kerouac levou-o aos poetas “malditos”, apaixonando-se pelos seus textos, paixão consolidada pela ligação que tinham com uma das admirações do poeta, o jazz, de que é grande conhecedor. Se alguém encontrar semelhança de Iosif Landau com os poetas beat, não é mera coincidência, portanto. O motivo está evidente.
Percebe-se ainda, em seus poemas, um claro amor pela vida, em todas as suas significações e nuanças, embora lamente o envelhecimento, não porque tenha medo do curso natural da existência, mas pelas limitações que a velhice impõe ao corpo. A alma do poeta é jovem, condição claramente manifesta em sua poesia.
Escrever sobre o sentido essencial da poesia de Iosif Landau é tarefa acima de minhas forças. Apenas posso sentir — e sinto profundamente — o seu sentido. Gostaria que os leitores deixassem de lado minhas palavras e viajassem pelas páginas do livro e se embriagassem em seus versos, que falarão melhor do que quem escreve esse texto, que tem como principal galardão a felicidade de ser amigo do poeta. E amigo não fala tudo, com receio de cometer excessos. Vejam com os próprios olhos.
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Fausto Rodrigues Valle
martedì 5 dicembre 2017
Livro EU VI
A POESIA CRISTALINA DE IOSIF LANDAU
Iosif Landau: um poeta que se distingue pela autenticidade e espontaneidade. A leitura de seus versos provoca-nos sentimentos variados, pela clareza de suas palavras e pelo forte sentido de legitimidade que delas emana. E não é esta uma das funções da poesia, transmutar sentimentos, provocar emoções?
Percorrendo o livro tive a certeza de estar lendo uma vida. O título, EU VI, demonstra a intenção do autor de se desnudar, sem pejo ou peias. Se não são imagens de sua rica vivência, seus poemas serão pelo menos instantâneos de vidas que tantas pessoas gostariam de ter vivido, imagens de sonhos entronizadas no nicho da mente de todo ser humano.
De permeio aos versos percebe-se uma rica cultura, sem afetação, espalhada em palavras que viajam livremente pela Europa, pelo interior brasileiro, pelas ruas e bairros do Rio de Janeiro, onde vive, lugares por onde passou. Recolheu e guardou na memória todos os bons e maus momentos, que fazem o tecido com que veste a sua poesia.
Iosif Landau, brasileiro naturalizado, é intrinsecamente carioca e brasileiro de alma e coração. Não esquece o seu torrão natal, a Romênia, mas deixa entrever em seus poemas o amor pela terra que adotou — e que o adotou. Sua vocação literária aflorou após os 70 anos e veio com força, amadurecida, como uma avalanche, em verso e prosa.
Tenho a honra de fazer o preâmbulo deste livro, embora com a certeza de que o livro não necessita, digamos, de prefácio. Estas linhas, portanto, não constituem um prefácio, que tem lá suas regras, talvez um pitada de crítica, a utilização de alguns termos próprios dos experts em literatura ou, quem sabe, a tentativa de enquadrar a poesia de Iosif em algum cânon específico, tão a gosto dos acadêmicos. São, e puramente isto, a oportunidade que tenho de dizer, em primeira mão e com certo grau de presunção, que este livro de Iosif Landau está pleno de lirismo que encanta, que fascina e nos leva a criar imagens em sonhos próprios.
Fausto Rodrigues Valle
Iosif Landau: um poeta que se distingue pela autenticidade e espontaneidade. A leitura de seus versos provoca-nos sentimentos variados, pela clareza de suas palavras e pelo forte sentido de legitimidade que delas emana. E não é esta uma das funções da poesia, transmutar sentimentos, provocar emoções?
Percorrendo o livro tive a certeza de estar lendo uma vida. O título, EU VI, demonstra a intenção do autor de se desnudar, sem pejo ou peias. Se não são imagens de sua rica vivência, seus poemas serão pelo menos instantâneos de vidas que tantas pessoas gostariam de ter vivido, imagens de sonhos entronizadas no nicho da mente de todo ser humano.
De permeio aos versos percebe-se uma rica cultura, sem afetação, espalhada em palavras que viajam livremente pela Europa, pelo interior brasileiro, pelas ruas e bairros do Rio de Janeiro, onde vive, lugares por onde passou. Recolheu e guardou na memória todos os bons e maus momentos, que fazem o tecido com que veste a sua poesia.
Iosif Landau, brasileiro naturalizado, é intrinsecamente carioca e brasileiro de alma e coração. Não esquece o seu torrão natal, a Romênia, mas deixa entrever em seus poemas o amor pela terra que adotou — e que o adotou. Sua vocação literária aflorou após os 70 anos e veio com força, amadurecida, como uma avalanche, em verso e prosa.
Tenho a honra de fazer o preâmbulo deste livro, embora com a certeza de que o livro não necessita, digamos, de prefácio. Estas linhas, portanto, não constituem um prefácio, que tem lá suas regras, talvez um pitada de crítica, a utilização de alguns termos próprios dos experts em literatura ou, quem sabe, a tentativa de enquadrar a poesia de Iosif em algum cânon específico, tão a gosto dos acadêmicos. São, e puramente isto, a oportunidade que tenho de dizer, em primeira mão e com certo grau de presunção, que este livro de Iosif Landau está pleno de lirismo que encanta, que fascina e nos leva a criar imagens em sonhos próprios.
Fausto Rodrigues Valle
lunedì 4 dicembre 2017
loucura....
Um dia assim de repente compreendeu a loucura.Vem assim, pouco a pouco, e de repente. Algo na garganta que não pode controlar. Um grito.
Quando percebeu já era tarde. Sentia-se mal. E, ao mesmo tempo, melhor. Ninguém escutou. Seus pais estão surdos. Como sempre. Que aconteceu?
Exatamente nada de novo. Nada especial. Acumulo de emoções saturadas. Ninguém com quem se abrir. Vìu de repente esta casa, que nunca foi casa mas sim paredes e tetos abrigando gente que nada tinha que ver um com o outro, abrigando móveis, fotos. Ali, assim, para sempre, intocáveis, sem carinho. E assim ontem sentiu-os gritar, rir. Uma risada vingativa, uma risada de tortura. Foram chegando, chegando, se sentiu afogar. Uns móveis com mais vida que este homem e esta mulher que vivem (vivem? ) esperando a morte. Vivendo ( vivendo ?) esperando a vida.. Não era culpa deles, tinham deixado seu pais, a mãe, os amigos, a casa, o trabalho, enfim todas suas coisas, quando tiveram que sair correndo por causa da guerra, – isto ela entendeu mais tarde. Tarde demais. Naquele momento sentia somente esta enorme ausência de tudo, de atenção, de comunicação, de uns beijos de verdade ou de uma mão nos cabelos, de uma carícia, de tudo, enfim.
Segue:
Umas paredes cheias de ecos dos gritos, de dicussões sem fim, irremediáveis que encheram esta coisa – não casa – e sua adolescência. A fizeram fugir toda sua vida.
E se levantou correndo, atravessando este corredor comprido, comprido, escuro e todos a perseguiam.
Correu depois do grito, para o seu quarto com o coração pulando de terror.
Viu então a verdadeira solidão. Não a solidão sozinha. Gostosa. Não. Uma solidao povoada de pesadelos, junto a pessoas com quem nada se tem a ver – que nunca se teve nada que ver. Seus pais. Era apenas uma imagem criada pela sua ansiedade, necessidade de amor, de ternura, de compreensão. Esta imagem formidável era somente uma imagem. E como tal caiu. E ficou a realidade. Cruel verdade. Uma vida de desamor. Um ambiente de quase terror. Uma atmosfera de hipocrisia. Uma tremenda comédia de mau gosto. Uma novela de televisão. De tudo isto tratou de fugir desde que tinha idade de razão. Até que conseguiu.
De erros em erros, escapando,
fugindo, sempre caindo em outras comédias y angustias.
longe, encontrou amor, ternura, comunicaçao.
Até aquele dia quando voltou àquela coisa-casa – e gritou. Um grito diferente. Tinha que fazê-lo antes de ser demasiado tarde para todos. Foi um grito, nao de loucura como aquele daquele dia. Uma explosão, fez chorar, chorou. Foi outro grito intenso que a libertou para sempre. Gritou sua verdade.
Conseguiu quebrar o feitiço da tremenda incomunicaçao.
...escrito faz muito tempo atras....
Quando percebeu já era tarde. Sentia-se mal. E, ao mesmo tempo, melhor. Ninguém escutou. Seus pais estão surdos. Como sempre. Que aconteceu?
Exatamente nada de novo. Nada especial. Acumulo de emoções saturadas. Ninguém com quem se abrir. Vìu de repente esta casa, que nunca foi casa mas sim paredes e tetos abrigando gente que nada tinha que ver um com o outro, abrigando móveis, fotos. Ali, assim, para sempre, intocáveis, sem carinho. E assim ontem sentiu-os gritar, rir. Uma risada vingativa, uma risada de tortura. Foram chegando, chegando, se sentiu afogar. Uns móveis com mais vida que este homem e esta mulher que vivem (vivem? ) esperando a morte. Vivendo ( vivendo ?) esperando a vida.. Não era culpa deles, tinham deixado seu pais, a mãe, os amigos, a casa, o trabalho, enfim todas suas coisas, quando tiveram que sair correndo por causa da guerra, – isto ela entendeu mais tarde. Tarde demais. Naquele momento sentia somente esta enorme ausência de tudo, de atenção, de comunicação, de uns beijos de verdade ou de uma mão nos cabelos, de uma carícia, de tudo, enfim.
Segue:
Umas paredes cheias de ecos dos gritos, de dicussões sem fim, irremediáveis que encheram esta coisa – não casa – e sua adolescência. A fizeram fugir toda sua vida.
E se levantou correndo, atravessando este corredor comprido, comprido, escuro e todos a perseguiam.
Correu depois do grito, para o seu quarto com o coração pulando de terror.
Viu então a verdadeira solidão. Não a solidão sozinha. Gostosa. Não. Uma solidao povoada de pesadelos, junto a pessoas com quem nada se tem a ver – que nunca se teve nada que ver. Seus pais. Era apenas uma imagem criada pela sua ansiedade, necessidade de amor, de ternura, de compreensão. Esta imagem formidável era somente uma imagem. E como tal caiu. E ficou a realidade. Cruel verdade. Uma vida de desamor. Um ambiente de quase terror. Uma atmosfera de hipocrisia. Uma tremenda comédia de mau gosto. Uma novela de televisão. De tudo isto tratou de fugir desde que tinha idade de razão. Até que conseguiu.
De erros em erros, escapando,
fugindo, sempre caindo em outras comédias y angustias.
longe, encontrou amor, ternura, comunicaçao.
Até aquele dia quando voltou àquela coisa-casa – e gritou. Um grito diferente. Tinha que fazê-lo antes de ser demasiado tarde para todos. Foi um grito, nao de loucura como aquele daquele dia. Uma explosão, fez chorar, chorou. Foi outro grito intenso que a libertou para sempre. Gritou sua verdade.
Conseguiu quebrar o feitiço da tremenda incomunicaçao.
...escrito faz muito tempo atras....
domenica 3 dicembre 2017
EU VI - livro Iosif Landau ...mais saudades de meu irmao - e do Rio de Janeiro
Minha geração partiu para a terra do Arco-Íris
à procura de novas ilusões e novos lares,
novas paisagens e terras macias, um Novo Mundo,
e eu tentarei atarraxar um novo rosto, de herói,
livrar-me do antigo e jogar no lixo a lâmpada queimada,
meus braços estenderei para o novo futuro.
O movimento de minha alma será o movimento das ondas
do novo mar, e meu olhar se perderá no horizonte azul,
e as mesuras de vai-e-vem das rezas são movimentos
de arrancada de um salto triplo para a nova vida.
Numa bela manhã, limpa e azul, resplandecente e luminosa,
vejo com clareza o milagre, meu neto, que me abraça rindo,
e eu visto roupas coloridas, e ouço nem perto nem longe,
vozes que cantam alegria ao som de bateria cadenciada.
Meu corpo se movimenta em harmonia com a nova alegria,
ganhei o jogo de xadrez com seus vinte e quatro quadradinhos
de desespero e vinte quatro quadradinhos de não-esperança,
estrelas brilham no meu coração, a Via Láctea bem próxima.
Hino de glória ao Deus imaginário da minha infância,
ouço o som do shofar: "as portas do paraíso se abriram".
Não beijei o solo do novo país quando desembarquei,
há sessenta anos, mas sei que me abraça,
até a ultima despedida.
à procura de novas ilusões e novos lares,
novas paisagens e terras macias, um Novo Mundo,
e eu tentarei atarraxar um novo rosto, de herói,
livrar-me do antigo e jogar no lixo a lâmpada queimada,
meus braços estenderei para o novo futuro.
O movimento de minha alma será o movimento das ondas
do novo mar, e meu olhar se perderá no horizonte azul,
e as mesuras de vai-e-vem das rezas são movimentos
de arrancada de um salto triplo para a nova vida.
Numa bela manhã, limpa e azul, resplandecente e luminosa,
vejo com clareza o milagre, meu neto, que me abraça rindo,
e eu visto roupas coloridas, e ouço nem perto nem longe,
vozes que cantam alegria ao som de bateria cadenciada.
Meu corpo se movimenta em harmonia com a nova alegria,
ganhei o jogo de xadrez com seus vinte e quatro quadradinhos
de desespero e vinte quatro quadradinhos de não-esperança,
estrelas brilham no meu coração, a Via Láctea bem próxima.
Hino de glória ao Deus imaginário da minha infância,
ouço o som do shofar: "as portas do paraíso se abriram".
Não beijei o solo do novo país quando desembarquei,
há sessenta anos, mas sei que me abraça,
até a ultima despedida.
sabato 2 dicembre 2017
fragmento de un texto sobre Salon Independiente -importante na historia das Artes no Mexico
Salao Independente 1968
movimento artistico importantissimo. Apoio aos movimientos estudantis contra o governo de diaz Ordaz, olimpiadas e mortes nao sei se voce sabe da matanza da Praca das tres Culturas. Nao, nao sabe? vou te emprestar um livro que vai deixar voce cheia de escalofrios, e algo que tem que se saber.vi homens chorar, soube de mtas mulheres gravidas atravessadas por soldados com baionetas, soube de terriveis coisas aos estudantes presos!!!Impossivel esquecer.....
Ao mesmo tempo Diaz Ordaz promoveu una expo , convidou todos os artistas a participar na EXposicao Solar ( si e este o nome,certo, nao sei, ja nao da minha cabeca para saber tanto! entao nos os BONS POLITICAMENTE E ARTISTICAMENTE, formamos este Salon de Los Independientes! Uma verdadeira revolucao!!! formidavel, fantastico com repercussao nacional e mundial. / anos depois se viu o quanto eramos realmente os MELHORES!!! Durou 3 anos.
1970 - Pintura Mexlcana, Casa de las Americas, L'Avana, Cuba. e sabe o que, so devolveram um quadro a la maior parte dos que participamos.Cada um tinha mandado dois!!!! anos mais tarde mto mais tarde tbem em Cuba ficaram com uns 20 desenhos dos melhores. nunca ninguem soube como aonde quem....
1971
Centro di Arte Moderna, Guadalajara, todos nos do Salon Independiente fomos convidados a pintar un mural, ou melhor dito um quadro grande grande, seria um acontecimento efimero !! muito simaptico, tenho vertigem a um metro do chao e ali era muuuuuuuuuuito mais alto eu somente pude pintar com um companheiro perto de mim e outro atRAS.
movimento artistico importantissimo. Apoio aos movimientos estudantis contra o governo de diaz Ordaz, olimpiadas e mortes nao sei se voce sabe da matanza da Praca das tres Culturas. Nao, nao sabe? vou te emprestar um livro que vai deixar voce cheia de escalofrios, e algo que tem que se saber.vi homens chorar, soube de mtas mulheres gravidas atravessadas por soldados com baionetas, soube de terriveis coisas aos estudantes presos!!!Impossivel esquecer.....
Ao mesmo tempo Diaz Ordaz promoveu una expo , convidou todos os artistas a participar na EXposicao Solar ( si e este o nome,certo, nao sei, ja nao da minha cabeca para saber tanto! entao nos os BONS POLITICAMENTE E ARTISTICAMENTE, formamos este Salon de Los Independientes! Uma verdadeira revolucao!!! formidavel, fantastico com repercussao nacional e mundial. / anos depois se viu o quanto eramos realmente os MELHORES!!! Durou 3 anos.
1970 - Pintura Mexlcana, Casa de las Americas, L'Avana, Cuba. e sabe o que, so devolveram um quadro a la maior parte dos que participamos.Cada um tinha mandado dois!!!! anos mais tarde mto mais tarde tbem em Cuba ficaram com uns 20 desenhos dos melhores. nunca ninguem soube como aonde quem....
1971
Centro di Arte Moderna, Guadalajara, todos nos do Salon Independiente fomos convidados a pintar un mural, ou melhor dito um quadro grande grande, seria um acontecimento efimero !! muito simaptico, tenho vertigem a um metro do chao e ali era muuuuuuuuuuito mais alto eu somente pude pintar com um companheiro perto de mim e outro atRAS.
venerdì 1 dicembre 2017
saudades de meu irmao...
Chegara ao Brasil com dezesseis anos em dezembro, meu aniversário dos
dezessete foi em abril de 1941. Bem vividos sob alguns aspectos,
testemunharam parte da história pouco nobre da primeira metade do século
XX. Eu era um inocente, um crédulo, um tímido, não imaginava a maldade, a
safadeza, a crueldade da alma humana. Eu era bom, gentil, alegre, educado,
nunca mentira em toda a minha ainda curta vida. Era um sonhador, via a
beleza sempre ao redor, amava os amigos, amava a vida, não sabia o que era
raiva, ódio, medo, temor. Era pródigo, o dinheiro no meu bolso era de todos,
minha casa era a casa dos amigos, eu era assim. Fui feliz e eu sabia que era
feliz. Por vezes meu "estopim curto", que não considero um grande defeito,
trazia-me encrenca. Gostava de esporte, de divertimento, minha sexualidade
era muito ativa, as mulheres fascinaram-me sempre. Sem ser um belo astro do
cinema, não precisei me empenhar muito nas conquistas, a todas eu tratava
com reverência, prostitutas e donzelas. Casei-me com a mais bela. A rendição
ao verdadeiro panorama, o despontar da realidade, da visão do feio, do ruim, o
que muitos consideram ser maturidade, chegou-me muito tarde, aos poucos,
sorrateiro, os ovos da serpente instalando-se em silêncio. O choque foi
violento, vivi o resto da minha vida como num ringue de luta, distribuindo
pancada, levando muita, caindo, levantando-me, às vezes derrubando o
oponente. Ganhei alguns rounds, perdi muitos, machuquei-me em demasia, fui
abençoado com cara de poucos amigos, mas não conheci o medo, enfrentei
com a coragem do desespero tudo o que vinha pela frente, aprendi a ser líder,
aprendi a engolir sapos, tive também recompensas, conheci como poucos meu
Brasil amado, sua natureza pungente, rios mares, a Amazônia cobiçada,
apaixonei-me pelo povo agreste, ajoelhei-me humilde diante da sua coragem.
Pergunto-me incessantemente, mesmo nesse instante: perdi ou ganhei? Valeu
a pena? Creio que as respostas agora nada significam. Se o sucesso dos meus
filhos é o meu grande troféu, valeu. Se o meu desapontamento com meu fim
de vida é o resultado, vale um zero. Não sei definir ética, comportamento
ético, o que significa? Fico me perguntando: o que valia na Grécia antiga, vale
hoje? Onde está a recompensa? A sociedade num todo se comporta de modo
duvidoso, por que então do indivíduo é cobrado o contrário? Desvio-me do
caminho, mas memória também é desabafo.
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